Théorie : C’est quoi un capteur de particules PM 2.5 ?

Ce sont les particules en suspension dans l’air. Les particules en suspension sont toutes les particules (solides ou en aérosols) portées par l’air, quantifiables par filtration ou par d’autres procédés physiques.

Elles sont dans leur ensemble désormais classées cancérigènes pour l’homme par le Centre international de recherche sur le cancer.

Les PM (pour matières particulaires d’après l’expression Particulate Matter(en)) désignent les particules en suspension dans l’atmosphère terrestre.

Un taux élevé de particules fines et ultrafines dans l’air est facteur de risque sanitaire (maladies cardio-vasculaires, altération des fonctions pulmonaires, cancer du poumon). Il a un effet direct sur la diminution de l’espérance de vie. La mise en œuvre de politiques environnementales a permis de réduire l’émission et la concentration de certaines particules. En France, après avoir atteint un pic en 1991, elle a diminué régulièrement de 4 % par an : la moyenne annuelle des émissions de particules fines PM2,5 en France, de 469 kilotonnes en 1991, s’est réduite progressivement à 174 kilotonnes en 2015.

Selon la taille des particules (diamètre aérodynamique ou « diamètre aéraulique »), on distingue en métrologie les « PM10 », les « PM2,5 » ou les « PM1 » selon la taille des particules en micromètre ou microns.

Plus les particules sont fines plus elles vont passer facilement directement dans le sang 

 

Pourquoi capter la temperature et l'humidité ?

Une humidité relative de 70% signifie que l'air contient 70% du maximum de vapeur d'eau qu'il peut absorber à cette température. Ainsi votre confort dépend directement d'un subtil équilibre entre la température de l'air et le pourcentage d'humidité : à 60% d'humidité relative, l'inconfort suscité par l'humidité sera plus grand s'il fait 30°C que s'il en fait 20. En effet, l'air à 30°C étant moins vite saturé, c'est à dire pouvant contenir plus de vapeur d'eau que l'air à 20°C, l'être humain ressentira davantage les effets désagréables de l'humidité à 30°C (même si l'humidité est la même). Inversement, une journée humide semblera plus chaude qu'une journée où la température est plus élevée mais l'air plus sec.

L'humidité relative idéale recommandée

D'une manière générale, une humidité relative située entre 30 et 70% recouvre toutes les fourchettes d'humidité conseillées. En Belgique, il est officiellement recommandé d'avoir une humidité située entre 40 et 70%, tandis que selon des experts français, l'humidité relative conseillée se trouve entre 45 et 65%. Dans le milieu médicale, on recommande un taux entre 40 et 60%, une humidité trop faible pouvant occasionner des complications respiratoires. Ainsi, une humidité relative inférieure à 30% est trop peu pour un logement : les personnes confrontées à un tel environnement devront aérer pour renouveler l'air.

Les valeurs critiques de l'humidité relative

Un taux d'humidité relative idéale se situe donc entre 30% et 70%. En France, l'air ambiant extérieur est à 70-80% de degré d'hygrométrie. Naturellement, cette tendance est une moyenne et dépend de la localisation et de la température. Aux Philippines, l'air est littéralement saturé d'humidité puisqu'il frôle les 100% : les crèmes hydratantes ne sont pas commercialisées dans ces contrées. Si vous avez des fleurs, prévoyez au moins 50% d'hygrométrie pour leur bien-être. En revanche, en hiver, l'humidité relative se situera plutôt entre 30 et 50% afin de prévenir la formation de condensation sur les fenêtres, pour une température moyenne située entre 18 et 24°C.

 

Pourquoi capter le Dioxyde de Carbone (CO²) ?

Le dioxyde de carbone, ou gaz carbonique, n’est pas considéré dans la loi française comme un polluant. Pourtant, si nous prenons la définition de ce qu’est une pollution (article L220-2 du Code de l’Environnement), force est de constater que le CO2 en possède les caractéristiques.

Le dioxyde de carbone (CO2) représente 77% des émissions de gaz à effets de serre (GES) d’origine humaine. Il résulte essentiellement de la combustion des énergies fossiles et du changement d’utilisation des sols (agriculture et déforestation). Il est surtout issu du secteur des transports (combustion de carburants), de l’industrie (utilisation d’énergies fossiles) et de l’habitat (utilisation d’énergie pour le chauffage, l’éclairage, …).

Effets sur la santé

L’air contient aujourd’hui environ 0,04 % de CO2. À partir d’une certaine concentration dans l’air, ce gaz s’avère dangereux voire mortel. La valeur limite d’exposition est de 3 % sur une durée de 15 minutes. Cette valeur ne doit jamais être dépassée. Au-delà, les effets sur la santé sont d’autant plus graves que la teneur en CO2 augmente. Ainsi, à 2 % de CO2 dans l’air, l’amplitude respiratoire augmente. À 4 %, la fréquence respiratoire s’accélère. À 10 %, peuvent apparaître des troubles visuels, des tremblements et des sueurs. À 15 %, c’est la perte de connaissance brutale. À 25 %, un arrêt respiratoire entraîne le décès.

 >> Loi : article L220-2 du Code de l’Environnement

>> Wikipédia : article sur le dioxyde de carbone

>> Consommation responsable :  » Circulez, ça ne pollue pas « 

( Source  http://www.respire-asso.org/dioxyde-de-carbone-co2/)

 

Dans le cadre de l'air interieur la valeur de CO² nous donne une information de confinement.

Par exemple une salle de classe mal aérée et surchaufé peux rapidement avoir des taux de Co² supperieur a 1000 ppm

Les valeurs de co2 sont exprimé en ppm 

La partie par million (le ppm), terme beaucoup utilisé en sciences (toxicologieformulationchimiemétallurgieélectroniquegéochimieetc.), est la fraction valant 10–6, c'est-à-dire un millionième

350~450 ppm : Environnement exterieur

350~1000 ppm : L'air est frais
1000~2000 ppm : L'air est stagnante et vous vous sentez fatigue
2000~5000 ppm : Maux de tete, sommeil, incapable de vous concentrer et meme une legere nausee
>5000 ppm : grave epuisement de l'oxygene, des lesions cerebrales permanentes et meme la mort